
Le regard ébloui par le reflet étincelant
De ce soleil trop blanc sur la mer d’argent
M’empêchait de te chercher dans les rideaux de la pluie
Sous ce nuage gris incliné par le vent
Tu es partie, fiancée de la nuit
Au petit matin, dans le contre-jour
Me laissant ébloui, drapé de souvenirs
Transparents et d’images d’amour
Ce matin-là, à l’aurore, je suis passé en un instant, comme jamais auparavant, d’un rêve d’amour merveilleux à la beauté sauvage d’un lever de soleil. Les nuages de pluie déployés sur tout l’horizon étaient superbes. L’océan était déchaîné.
Réveillé d’un coup, levé aussitôt, je me suis trouvé dehors, devant les éléments, encore dans mes rêves. La réverbération d’une blancheur étincelante m’aveuglait alors que j’étais encore ébloui des beautés de la nuit.
Le poème est sorti d’un seul jet, sans retouches. Les mots et les images viennent et reviennent dans un mouvement tournant comme mes émotions en ce matin-là.
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